#ChallengeAZ 2020 - M Comme Mégissier

Pour la deuxième fois sur ce blog, je vous invite à me suivre dans ma participation au ChallengeAZ,  initié il y a plusieurs années par l'excellente Sophie Boudarel. Le but ? Une lettre par jour, un billet par lettre, le dimanche non inclus (sauf cette année, caprice du calendrier). Cette fois, je vous propose de faire un petit tour parmi les métiers trouvés dans mon arbre généalogique... ou pas. 

M Comme Mégissier


c'est quoi ? 

Le mégissier est un artisan qui s'occupe de préparer les petites peaux (moutons, agneaux, veau) pour les rendre propres à créer toutes sortes d'articles de maroquineries : tabliers, gants, doublure, etc... Pour cela, il utilise de l'alun, du sel, une pâte ou un confit d'excrêments de chien (si si...). 

Pour être mégissier, il faut faire un apprentissage de 4 ans qui commence généralement vers 15 ans et être d'une bonne constitution et plutôt musclé, le travail demandant de la force. Les journées de travail commence à 6h et se termine vers 19h, parfois plus tard, si les demandes sont importantes. 

Quels outils ?

Forces, chevalet, enchaussoir, tenailles, mais aussi baquets, balance, machine à tondre ou à échardonner sont les compagnons utiles de ces artisans. 

Extrait de "La Zizanie" de Claude Zidi, 1978

Pour aller plus loin

Dans notre arbre 

Jacques Claris FRERET, sosa 80 de mes enfants, est né à Saint-Aubin-Jouxte-Boulleng (76) le 26.3.1826, du mariage de Jacques FRERET de Marie GILLE. 

Le 13 novembre 1853, il épouse Julie Béchet. Ils ont respectivement 27 et 18 ans. La veille de leurs noces, ils ont passé un contrat de mariage (que je n'ai pas encore) devant Maître LEMARECHAL, notaire à Bacqueville-en-Caux.

Ensemble, ils auront 5 enfants, dont un seul garçon : Désiré Georges Achille.

Jacques meurt en 1864 à Bacqueville-en-Caux, il a 38 ans, sa femme mourra à Dieppe en 1896.








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