#ChallengeAZ 2020 - T comme Tournée du postier

Pour la deuxième fois sur ce blog, je vous invite à me suivre dans ma participation au ChallengeAZ,  initié il y a plusieurs années par l'excellente Sophie Boudarel. Le but ? Une lettre par jour, un billet par lettre, le dimanche non inclus (sauf cette année, caprice du calendrier). Cette fois, je vous propose de faire un petit tour parmi les métiers trouvés dans mon arbre généalogique... ou pas. 

T Comme Tournée du postier


C'est quoi ?

Le postier, ou facteur, vous le connaissez tous, il vient frapper à votre porte pour un recommandé (rarement bon signe) ou un colis (ça, on préfère), il met le courrier dans votre boîte à lettre et c'est lui qui fait la levée des boîtes aux lettres de village ou de rue. 

Mais savez-vous que la première tentative de création de la Poste date de 1652 mais n'a duré que 3 ans? Qu'il a fallu un siècle de plus pour que l'on retente la création d'un système de courrier ? Ou encore que ce système n'était encore présent que dans les grandes villes avant 1829 ? 

Après 1829, le facteur ne passe que tous les deux jours mais est présent dans toutes les communes, y compris rurales. C'est seulement en 1863 que la tournée deviendra quotidienne, dimanche inclus. Après 1919, on instaure le repos dominical et le facteur ne passe plus que 6 jours sur 7.

 Si ils sont près de 100 000 aujourd'hui, ils n'étaient que 5 000 en 1830 et encore seulement 38 000 en 1950. Avec l'avènement d'Internet et des télécommunications, on constate que le métier recule, c'est pour ça que la Poste se diversifie de plus en plus : banque, forfaits téléphoniques, services aux personnes isolées... 

Film "Bienvenue Chez les Ch'tis" 
dans lequel Dany Boon joue un facteur à vélo

Pour en savoir plus 




Dans notre arbre

Adrien Jean LE ROUX est le sosa 68 de mes enfants. Il est né à Rouen le 13 Janvier 1834. Il se marie à 18 ans avec Marie Amélie Constance Machiels, 20 ans. 
L'acte de mariage m'apprend qu'il est alors "Commissionnaire Postier". 

Marie et Jean auront au moins 2 enfants. 

Lorsque Jean Adrien meurt il a 57 ans et il est marchand de quatre saisons. Il meurt au 51 Rue Lecat à Rouen, ancien hôpital aujourd'hui reconverti en Musée Flaubert et Histoire de la Médecine. 

Signature de Jean Adrien LE ROUX, 
lors de son mariage, 1852.


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